http://www.automesure.com/Pages/formulaire_alcool.html
Comment je peux avoir un problème avec l'alcool si j'en bois pas?
Je dis aux personnes que j'aime d'arrêter de se détruire avec ce
dépresseur PROUVÉ, et ils me répondent qu'ils sont épicuriens et que
c'est moi qui a un problème avec l'alcool.
Comment l'alcool peut être un problème dans ma vie si je l'ai éliminé de
celle-ci? Au contraire, j'ai tout compris et j'ai pris une décision
d'en être intolérant et d'éliminer ce dépresseur de ma vie.
Alors comment, en toute logique, je peux me faire répondre que c'est moi
qui a un problème avec l'alcool si celui-ci n'entre pas dans ma vie?
Comment quelqu'un qui se dit épicurien et vouloir goûter toutes sortes
de chose, peut vouloir prendre la dernière bière Corona (qui traîne
littéralement depuis des mois dans mon frigo, laissé par un invité dans
le temps), et nous répondre "Bah, c'est pas bon mais il y a de
l'alcool!" et ce, un jour important où j'ai besoin de lui?
Et c'est MOI qui est supposé avoir le problème avec l'alcool? Il y a un bout que je n'ai pas compris.
SVP, expliquez-moi. Je chercher à savoir comment cette personne a pu me répondre de cette façon, je cherche sa logique.
Quelques recherches rapides m'ont mené sur ces pages références:
"Un dépresseur est une substance qui ralentit l'activité du système
nerveux central et a un effet anxiolytique, hypnotique ou sédatif."
"Les dépresseurs les plus connus sont les neuroleptiques, l'alcool, les opiacés, les barbituriques et les benzodiazépines"
http://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9presseur
"Les dépresseurs ralentissent le fonctionnement du système nerveux
central et affectent les parties du cerveau qui contrôlent la pensée, le
comportement, la respiration et le rythme cardiaque. Les dépresseurs
comme l’alcool, les opioïdes et les benzodiazépines peuvent endormir,
ralentir les réflexes et nuire à la capacité de prêter attention et de
se concentrer. "
http://www.camh.ca/fr/hospital/health_information/a_z_mental_health_and_addiction_information/concurrent_disorders/a_family_guide_to_concurrent_disorders/substance_use_problems/Pages/depressants.aspx
"Même si on la consomme tout d’abord pour ses effets euphoriques, il est
faux de croire que l’alcool a un effet stimulant. Consommé en faible
quantité, il peut sembler un stimulant du fait qu'il agit sur la partie
du cerveau régissant les inhibitions. Lorsqu'une personne perd ses
inhibitions, elle devient plus volubile et semble avoir plus d'énergie.
Mais en fait, l’alcool est un dépresseur qui ralentit les fonctions
cérébrales et intoxique l’organisme."
"Les tests psychologiques montrent qu'une consommation quotidienne de 60
ml/jour entraîne des perturbations sur la vitesse psychomotrice, la
mémoire, l'apprentissage, l'appréciation de l'espace, la capacité de
raisonnement et le raisonnement complexe : anxiété et dépression ;
négation véhémente du problème, souvent provoquée par la culpabilité et
la honte ; tendance à blâmer les autres, la famille, les amis, les
compagnons de travail pour les problèmes dus à la boisson ;
affaiblissement des facultés intellectuelles - obnubilation de
l'esprit."
http://www.etape.qc.ca/drogues/alcool.htm
Test intéressant à faire: http://www.automesure.com/Pages/formulaire_alcool.html
Je l'ai fait pour moi, j'arrive à 1. Et je suis supposé avoir le
problème d'alcool? En tout cas, selon ce questionnaire, je n'ai aucun
problème causé par l'alcool.
Et surtout... est-ce que j'ai le goût de continuer d'avoir une relation
avec quelqu'un qui se détruit aveuglément? Est-ce que j'ai le goût de
continuer d'ouvrir des portes à quelqu'un qui ne veut tout simplement
pas profiter de l'ouverture? Non. C'est assez, je ne peux plus avoir
confiance en quelqu'un qui ne s'aime pas assez pour se rendre compte de
son problème. Je ne peux plus me tenir avec quelqu'un qui pensent que
l'alcool est un bienfait épicurien dans sa vie, sa famille et qui me
renvoie le blâme du problème avec l'alcool.
Enough is enough, 37 ans, un neveu, des responsabilités... je dois bien
utiliser l'énergie que j'ai sur des gens qui s'aiment et se donnent
eux-mêmes la chance de bien évoluer.
DJon
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